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Moi, Caramel
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Moi, Caramel
13 décembre 2008

Soleil et coup de gueule

Kikoo les gens,

C'est un terrain glissant mais j'ai le goût de l'aventure... Oui, mais...
Par ailleurs, les partiels arrivent bientôt et moi, de ne pas stresser. Si je suis prête? Bien sûr que non, Caramel prête au dernier moment mais jamais avant. C'est
une règle d'or...
Dans moins de dix jours, je rentre à Dakar...

Je m'adresse à la bécasse située à l'accueil et dont le nom commence par un C. et se termine par un Y. avec un T. qui se balade quelque part (oui, ça m'énerve) qui m'a délibérément engueulée ce matin.

Je suis d'accord avec toi sur un point, les plaisanteries jugées H. (je déteste ce mot d'autant plus qu'il ne me correspond pas) étaient déplacées, stupides et blessantes. Mais à part le fait de reconnaître mon erreur et de présenter mes excuses les plus sincères pour des propos que je n'ai guère tenus d'ailleurs, que je ne tiendrai jamais mais que j'ai eu le malheur et l'imbécilité de laisser publier, je ne vois pas trop ce que je pourrais faire de plus: passer à la télé ? Passer en Amphi A1 ? Faire un spot radio ? Offrir des cadeaux de réconciliation ? Passer en jugement ? Faire des travaux d'intérêt général ?

PARENTHESE - Concernant les excuses des principaux coupables ?!!!!! Cela aurait été magnifique que tout le monde prenne ses responsabilités et reconnaisse publiquement ses torts. Peut-être trop fiers sont-ils...

Cependant, le fait que tu m'engueules et que tu pètes un câble matinal parce que moi Caramel, ai osé écrire dans mon édito (CF. journal numéro 1) que la cafétéria avait été remplacée par des distributeurs et que ce n'était pas tout ce qu'il y a de sain (bien que je sois la première à y dépenser des fortunes) me laisse à penser que tu n'as rien d'autre à faire de ta vie. Il existe un droit fondamental qui s'appelle la liberté d'expression.

MERDE

Aussi longtemps que je vivrai, je défendrai ce droit sans empiéter sur la liberté d'autrui (CF. Ma grossière erreur précédemment citée). Je ne censurerai que si nécessaire. Mais jamais pour raison de: je ne suis pas d'accord avec ce que tu dis donc je censure tes propos... (je fais référence à une autre critique que l'on m'a faite tout à l'heure).  

J'ai l'impression d'être rédactrice en chef de Voici. Honte à moi. J'ai osé critiquer les distributeurs... Mais dans quel monde vit-on ? Oser critiquer les distributeurs et ce n'est que le deuxième numéro. Dans le prochain, je critiquerai le fait que la cafet' soit particulièrement mal chauffée. Je joue avec le feu, attention danger !   

Prenez soin de vous !

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